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JJGOLDMANIl est assez difficile de s’exprimer à propos de Jean-Jacques Goldman tant cet artiste est discret et reste à l’écart des médias et du monde du showbiz. A l’heure où les reprises de ses chansons sont d’actualité, notamment l’incontournable « Envole moi » repris par M Pokora et Tal, je vous propose de revenir vers l’album « Entre gris clair et gris foncé » sorti en novembre 1987.

 

 Il s’agit du cinquième album studio de Jean-Jacques Goldman qui est à la fois auteur, compositeur et interprète. Il commence en 1974 avec le groupe de rock progressif « Tai Phong » au sein duquel il est guitariste et chanteur mais aussi violoniste.

  

Au début des années quatre-vingts, il entame une carrière seul et rapidement, il enchaîne les succès. On peut citer parmi les principaux « Quand la musique est bonne », « Au bout de mes rêves » et « Je te donne ». Ces tubes lui permettront de s’imposer comme l’un des chanteurs les plus renommés de la décennie en France !

  

« Entre gris clair et gris foncé » est l’œuvre la plus accomplie sur la période des eighties. Ce double album vinyle de dix-huit titres met en lumière l’ensemble du paysage musical de l’artiste : on peut y écouter des chansons très Rock comme « A quoi tu sers », de jolies ballades avec « Puisque tu pars » et « Là-bas » mais aussi des variétés pour le grand public comme par exemple «C’est ta chance ».

  

Pendant l’enregistrement du disque le chanteur fait la connaissance de la choriste américaine Carole Fredericks. Cette rencontre va être déterminante puisqu’elle entraîne Jean-Jacques Goldman à mettre sa carrière solo entre parenthèses pour se consacrer au trio Fredericks Goldman Jones qui va connaître l’apothéose dans les années quatre-vingt dix.

 

Frédéric Narbonde

 

 

 

 

 

 

 

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